Humiliation [avec ceux qui veulent]

Je pris mon plateau et m'approcha de la cuisinière.

-Bonjour, qu' a-t-il a mangé aujourd'hui ?

Elle ne me répondit pas et me servit de la purée et me versa de la soupe dans un bol. Je connaissais sa mavais humeur, mais tout de même. Ne pas répondre à un combattant qui a travaillé dur, qui boîte un peu et qui n'as plus de parents. Elle me décrocha un regard assassin en me tendant ma soupe et ma purée. Je me demandais quesqu'il l'avait genée pour qu'ele me fusil du regard. Je n'avais rien causé... mais si, elle lisait sur les visage. Ses ancêtres étaient des Tsigagne qui se deviné les pensées des gens en les regardant. Je ne pouvais pas le lui repprochais, c'était très bien d'avoir se don. Mais pourquoi l'utilisait pour avoir un prétexe pour hair les autres.

Je partit m'asseoir à une table non loin de là. Oh non ! Berry s'approchait vers moi. Berry Clark était un révolutionnaire Franco-Russe qui me detèstait depuis que je l'avais bousculé sans faire exprès. Mais que pouvais-je faire. Mes deux amis, D'jok et Nihal étaient médecins, pas des combattants, il ne pouvait pas m'aider. A part soigné mes blessures. Je tremblais, mon sang se figea dans mes veines. Il cracha sur moi et me jeta un regards de tueur. Je me mit en position d'attaque et je fronçais mes sourcils pour l'effrayai.

Cela ne l'intimida pas, vu la direct qui m'envoya dans la figure. Il avait juré de me démonter un bras et une épaule. Je craignais vraiment le pire. Le coup qu'il m'avait "offert" n'été qu'une vulgaire pichnette par rapport à tout ce qu'il pouvait faire. Il me surnommé "Le moins qu'un cafard", il écriva ça comme ça "-k'1Kafard". Il n'était pas du tout cultivé et écrasais tout ceux qui l'énervait, coupable ou non.

Entre amis, on l'appellait "Bak", mais jamais devant lui sous peur de se faire massacré. Il me jeta un coup de pied dans le ventre. Tout le monde rigola, même la cuisinière, quelle monstre cette femme. Elle devait de toute évidence être renvoyé. Je vomis. Tout le monde poussa des cris de dégoût, mélangé à des rires. J'entendis quelqu'un me dire :

"Va chez l'ophtalmo, ici c'est pas les WC"

Quelle humilation. Je détestait tout les gens, sauf mes amis, mais tout le reste, si. Il n'avait pas la même histoire que moi, je suis sûr que certains avaient encore leurs parents. Je suis sûr que certains séchait toujours tout, c'était trop injuste !

[Si quelqu'un veux continuer, il peut]

J'allais manger lorsque je vit Rekk parler à la cuisinière. Je détestais cette horrible femme, elle me respecter juste parce que j'étais un médecin. Quelle garce ! Lorsqu'elle s'était cassé la figure l'autre jour, j'avais fait exprès de lui administrer le faux médicaments. Mais normalement, je n'en n'avait pas le droit, bien sûr ! L'un des chefs était en plus amoureux d'elle ! Mauvais goût. Comment je sais ça ? Mon amie, Bess, était, elle aussi, un des chefs. Avec elle, on ne rate rien ! Mais ce chef est mort hier, empoisonné. Bien fait. Je sais, j'ai un esprit cruel, mais avec des gens comme ça ! On n'arrive pas à résister ! Mais le pire reste à venir, elle était tellement chagrinée par cette mort, qu'elle a vomie sur moi ! J'ai passée deux heures à lavée mon pauvre corps et un jour entier pour ma robe fragile ! Ensuite, elle a crié aux cieux, " Je monte, mon amour, je viendrait vers toi !... " Puis elle s'est évanouit. Plus vite elle part, mieux c'est ! Maintenant, elle est encore plus cruelle avec les autres !

Rekk ne me vit pas, alors je commençais à agiter mes bras, comme pour l'inciter à venir. Mais arrêta mon geste lorsque je vit Berry Clark qui avançait vers lui. Je poussa un petit crie de dégoût : il était follement amoureux de moi ! Mais, bien sûr, pas moi. Car il humiliait mes amis, même Bess ! C'est inadmissible, pourtant, Bess ne fait jamais rien.
" - Ses parents font partie du gouvernement, nous l'avons découverts trop tard. Si on le puni ou le banni, il ira dire tout nos secret au gouvernement. " avait lâchait Bess, lorsque je l'avais interrogée.
Iiih ! J'avais poussé ce crie sans le vouloir mais Rekk venait de vomir une partie de son petit-déjeuné de ce matin. Berry, ou Bak, lui avait donné un coup qu'il n'a pas raté ! Quelqu'un annonça :
" - Va chez l'ophtalmo, ici c'est pas les WC ! "
Non mais ça va pas ? Il se croie où, lui ? Chez Mémé ? Quel idiot ! Je n'eus pas le temps de me lever pour rejoindre Rekk, que Berry vint vers moi et me lança d'un ton charmeur :
" - Salut, je t'ai manqué, mon amour ?
Je détestais quand il m'appelle comme ça.
- Non, tu ne me manque jamais. Au contraire, j'apprécie quand tu n'es pas là. "
Mes voisins de table poussèrent un " Ouhhhh ! " enthousiaste pour m'encourager à continuer. Mais je les ignorais. Je préférais aller voir comment Rekk allait. Pas bien, à mon avis.
Alors je me levait, et marcha en direction du malade.
" - Ça va Rekk ? Tu veux que je t'emmène dans ma clinique ? "
J'avais une mini clinique dans l'infirmerie. Là où je soignais les blessés, là où je sauvais les blessé. Je l'aida à se relevais, au contact avec sa peau douce, je frissonnais. Il était beau. Il était gentil. Il était courageux. J'étais folle de lui. Mais je ne le savait pas.
" - ... répondit Rekk.

Je marchais tranquillement dans le camp. Cette journée me paraissait assez calme comparée aux dernières. Des bombes avaient explosées aux environs, et des batailles avaient éclatés entre les soldats. J'étais assez près de la cantine, quand j'entendis des rires.
*On peut jamais passer une journée normale.*pensais-je.

Je m'avança assez rapidement jusqu'à la porte. Je vis Rekk allongé par terre, une marre de vomis devant lui et Nihal qui essayait de l'aider à se lever. J'en conclut alors que la raison de cette agitation était une bataille. Mais provoquée par qui? Je cherchais du regard le coupable, et je l'aperçut. Berry Clark. Non, là s'en était assez! Il fallait que je l'engueule, il en était déjà à sa 3 ème bataille de la semaine. Lui et ses amis riaient, comme presque tous ceux de la cantine.

*PAN, PAN*

Je donnais souvent deux coups de feux pour calmer une assemblée. Cette fois-ci encore, ça marcha.

-Que tout le monde reparte s'entraîner et vite! criais-je.

Tout le monde m'obéit, même Berry. Mais lui, je voulais lui parler alors quand il passa près de moi, je l'arrêta pour lui murmurer:

-Si tu touches encore une fois à mes amis, je t'explose ta tête et tes couilles.

-Si tu fais ça, je dévoile tout.

Sa phrase préférée peut-être? Mais cette fois-là, ça ne me fit rien, car j'avais demandé à certains soldats digne de confiance d'enquêter sur lui. Il s'était alors avéré que ce gros balourd était orphelin, il ne pouvait donc rien révéler. Je crois qu'il compris que je connaissais son mensonge désormais, car son expression était étonnée et il avait peur. Berry n'avait encore jamais été sur le front, je crois que ce serait une bonne punition pour lui.

-Demain on a une grosse bataille sur le front, tu y vas. annonçais-je.

-Mais....

-C'est un ordre.

Il s'en alla. Moi, je rangea mon arme et m'assis à une table pour décompresser un peu. Mais je n'y arrivais pas. Ces temps-ci je n'avais pas une minute à moi, et les morts devenaient de plus en plus nombreux. Qu'allons-nous faire?

-Oui, répondis-je à Nihal, je veux bien que tu m'emmenne.

Quel coup, Berry me le paierait.

"Pan pan", fit le pistolet de Bess. Ouf, elle était arrivé. C''était une amie, mais pas seulement, il se trouvait quel remplissait très bien son devoir de chef. Elle était gentil avec ceux qui le méritait, mais sévére avec ceux qui faisait mal les choses. Mais parlons de Nihal, elle parraissait plus gentils avec moi qu'avec d'autre. Comme si elle était amoureuse de moi, mais non, c'était absurbe. Aucunne fille n'était amoureuse de moi. J'était sortit avec une fille, une fois. Je lui avais vomis dessus, on m'a appellait "Dégeuleman" jusqu'à 15 ans, la honte.

Je me souvins d'une chose. C'était les 10 ans de la mort de mon grand-père et j'été absent. Quel gros looser. Je n'été qu'ue poussière dans ce monde. UN mollusque, un nul que personne n'aimait, qui était le plus faible. J'avais loupé la messe des 10 ans de la mort de mon Grand-père. Je décida de dire à Nihal qu'elle pouvait me laissait pour que je créve ici. Je lui demanderai aussi à ce qu'on ne m'entèrent pas. Qu'on me serve à manger à tout le monde. Je ne sais pas quel goût j'avais. Malheureusement, Berry ne m'avais pas frappé assez fort. J'aurais vulu lui demandait de me planter un couteau dans le ventre pour que je meurs. Mais Bess l'avait déjà fait sortir. Quel dommage, il allait peut-être mourir au combat où Bess l'avait envoyé. Il aurait quand même pu me tuer avant. Je detéstait encore plus ce mec. Il ne m'avait même pas tuer.

-Nihal, tus moi s'il-te-plaît.

Elle me regarda comme si je lui annoçais que le Gouvernement nous avez vaincu. Comme si je lui avait dit que mon plait préféré était le cafard maché à la sauce vomis.

-..., répondit-elle

" Pan, pan ! " Bess avait, comme toujours, calmé la foule qui se moquait de Rekk. Puis se fut le silence. Mince, alors ! J'avais raté mon déjeuné, qui était déjà depuis longtemps froid. Sans un mot, je comprit ce que Rekk ressentait : de la honte, de l'humiliation, tout. Il était à demi assommé, je le sentait. Il allait avoir besoin d'aspirine et de menthe aquatique. (pif total !) Bess avait l'air fatiguer, je la comprends : depuis le temps qu'elle m'en parlait. Elle n'avait plus une seconde de repos ! J'irais lui faire une ordonnance, deux jours de repos. Elle les avait mérités. Rekk aussi, d'ailleurs. Il boitait, ce qui était un mauvais signe. Il fallait lui remettre l'articulation en place, sinon, après quelque jours, cela sera impossible ! Donc, après un moment de réflexion, Rekk prit la parole, ce qui m'arracha de mes pensées bizarre :

" - Nihal, tus-moi, sil-te-plaît, dit-il d'une voix très faible.

Sans réfléchir, je répondis sauvagement :

- Quoi !? Mais qu'est-ce qu'il t'arrive ? Tu as pris un coup sur la tête ou quoi ? J'espère que ce s*lopard de
Berry pourrira sur le front ! Sinon, ce sera moi qui lui arrachera sa saleté de tête vivante ! Viens avec moi, je te soignerais et tout ira bien. Allez, avec le peu de force qu'il te reste, on vas arrangé ça ! "

Cela était ma meilleure manière de gagner la confiance de mes patients. Ça marchait à tout les coups ! Mais Rekk me regardais d'un air de dire : " Et toi ? T'as pris un coup sur la tête ? Parce qu'on dirait, vachement ! ". Bien sûr, il a prit l'air qui me déroutait le plus ! Je me pris dans un énorme fou rire que Rekk ne comprit pas, mais alors vraiment pas du tout ! Ce qui me fit encore plus rire quand je voyait ses yeux aussi rond que des billes de billard, un jeu connu des révolutionnaires. Alors il me répondit encore ébahie :
" - ..., dit-il.

Je me retournai, attirée par le rire de Nihal dans mon dos. Je la voyait rire pour rien. Je souris. J'aurais aimé rire comme elle le faisait, mais cela faisait depuis la perte de mes grands-parents que je ne le faisait plus. Je me leva, puis alla chercher mon déjeuner. Déjà deux jours que je n'avais pas mangé. Quand j'arrivai au comptoir, la cuisinière me regarda avec respect. Je détestais ces regards-là, mais je m'y était faite. Elle me servit le bouillie habituelle, et je retourna m'asseoir. Pendant mon repas, je pensa à mon passé. La mort de mes grands-parents, ma première bataille, la perte de mon oeil... En pensant à ce dernier, je caressa du bout des doigts le bandage. Le temps où je riais avec ma famille et mes amis étaient résolue. Je me souviens du premier garçon qui m'avait complimenté sur mes yeux. Avant, je pensais presque à longueur de journées à l'amour, à m'amuser, ou des choses de ce genre, mais désormais, je n'étais plus la même. Je m'entrainais tout le temps pour ne pas laisser mon handicap me faire perdre. Je ne pensais plus qu'à une chose: venger les morts. Mais que faire quand le gouvernement est puissant?
Désespérée, je me pris ma tête dans mes mains, une habitude chez moi. J'entendis des bruits de pas dans le couloir. Un jeune homme, entra dans la cantine, essoufflé.
-Bess, la patrouille est rentrée, et il y a deux blessés. annonça-t-il.

-Et bien laisse les médecins s'occuper d'eux. répliquais-je sèchement.

Comme il restait là à me regarder, je lui demanda:

-Quoi? Le gouvernement va attaquer?!

-Non...pas du tout.

-Alors qu'est-ce que tu fais encore là?!

Sur ces mots, il partit. Je resta là.